Plusieurs juridictions, dont la Suisse, l’Espagne et les États de New York, du Maine, de l’Illinois et de l’Alaska ont déjà adopté des lois obligeant les tribunaux à tenir compte des intérêts des animaux lorsqu’ils statuent sur leur garde en cas de rupture. Ce n’est pas encore le cas au Québec.
En effet, même si le Code civil du Québec reconnaît les animaux comme des êtres doués de sensibilité et ayant des impératifs biologiques, en matière conjugale, les animaux sont soumis aux mêmes règles que celles qui s’appliquent aux biens meubles.